Regarder, dessiner, faire la photo. Bien plus tard,
développer, tirer et mesurer la distance, la maturation, l’apparition lente, la
révélation d’un faux réel.
La photographie comme
je la pose, c’est l’affectif raisonné et muri, alors que le dessin, le trait
instantané est en phase avec les muscles et
l’énergie primitive.
La maîtrise ne
m’intéresse finalement pas en soi. Faire une bonne photo et un bon dessin je m’en fou. C’est juste pour
voir comment ça fait de marcher sur la
corde molle de l’expérience de la dualité, pour essayer de faire un.